Relations difficiles entre partenaires de danse
rédacteur Philippe Valade (08-06-2024)
Relations difficiles entre partenaires de danse, arrogance et mythomanie.
Les relations entre partenaires de danse sont parfois difficiles, que ce soit pour la compétition ou dans un cadre d'entraînement professionnel.
J'en ai fait personnellement les frais avec une précédente partenaire - Josiane S. - notamment sur les plans du comportement et du travail fondamental pour prétendre à un "niveau correct". Danse "monobloc", footwork absent, maintien et placement brouillon, difficultés avec la musique et le rythme, difficultés à intégrer les enchaînements chorégraphiques.
Initialement j'avais une certaine confiance. Elle se prétendait être professeur agrégée de Linguistique à l'Université Jean Jaurès de Toulouse (dixit Josiane S.).
J'ai commencé à avoir quelques doutes lorsqu'elle m'a affirmé que l'on ne pouvait pas faire de la Linguistique sans une maîtrise parfaite du Latin.
Une telle déclaration était de nature à douter de la qualification dont s'affublait Josiane S.
L'absurdité de cette déclaration tendait à exclure les langues finno-ougriennes, slaves, africaines, arabes, asiatiques, etc. alors que la Linguistique est une science pilote au sein des sciences humaines. Roman Jakobson ainsi que Noam Chomsky, à la suite de Ferdinand de Saussure, ont particulièrement démontré l'universalité de la Linguistique.
J'ai fait des recherches auprès de l'Université Jean Jaurès de Toulouse, particulièrement au département "Linguistique et Sciences du Langage" où Josiane prétendait enseigner, et j'ai obtenu la liste complète des professeurs dont elle est totalement inconnue :
https://sciences-du-langage.univ-tlse2.fr/accueil-sciences-du-langage/equipe-enseignante
Qui plus est, Josiane S. s'était vantée être professeur à l'Université Jean Jaurès de Toulouse auprès d'une collègue danseuse de danse sportive. Et, par ironie du sort, il se trouve que cette danseuse travaille à Jean Jaurès dans les services administratifs. Après quelques recherches, elle a fait le constat que Josiane S. n'existait pas au sein de l'Université que ce soit comme professeur ou à quelque titre que ce soit.
De fait, Josiane S. n'est absolument pas professeur à l'Université Jean Jaurès de Toulouse. Elle est tout simplement employée en qualité de fonctionnaire territorial aux archives municipales du service éducatif de la Ville de Toulouse ce qui est attesté sur le site Internet de la Mairie de Toulouse :
https://www.archives.toulouse.fr/service-educatif/renseignements-pratiques
NB : Les archives municipales de la Ville de Toulouse proposent des ressources pédagogiques à l'intention des enseignants et élèves du primaire et du secondaire. Les contenus proposés, bâtis avec le concours d'un enseignant d'histoire, permettent d'illustrer l'histoire nationale au travers d'exemples locaux.
Dans ces conditions, il y a peu de chance que ladite Josiane S. soit titulaire de l'agrégation en quelque discipline que ce soit. Qui plus est, les conditions d'emploi dans la fonction publique territoriale relève de la seule responsabilité des collectivités territoriales et ne permet pas d'être fonctionnaire de l'Éducation nationale.
La situation est devenue gaguesque et il semble que Josiane S. m'a vraiment pris pour le "ravi de la crèche".
A tout le moins, il s'agit là d'une personne - Josiane S. - qui est marquée par un probable déchirement identitaire.
Le plus amusant, après coup, c'est que j'ai des élèves qui travaillent à la Mairie de Toulouse et qui la connaissent depuis longtemps. A la Mairie de Toulouse, ses collègues la considèrent (dixit) comme "femme à problème".
Shame on you !
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